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Augmentin Zydus (Augmentin) contient de l'amoxicilline, un antibiotique qui appartient au groupe des antibiotiques de la classe des bêta-lactamines. Il est utilisé en doses appropriées pour le traitement des infections. Les infections les plus courantes sont la pneumonie, la cystite, la prostatite, la bronchite, la sinusite et la pyélonéphrite.
Augmentin Zydus ne doit pas être utilisé en association avec d'autres médicaments contenant de l'amoxicilline (p.ex. disulfirame, tétracyclines) ou contenant du l'association céphalosporine A (céfépime) ou de l'association céfalexine (voir rubrique Contre-indications).
Infections à streptocoque A du groupe de la bêta-lactamase. Certaines infections peuvent être traitées par Augmentin Zydus. En cas de symptômes associés, il est conseillé de consulter un médecin.
Augmentin Zydus ne doit pas être utilisé dans les infections à Neisseria gonorrhoeae (gonorrhée) ou à Neisseria meningitidis (gonorrhée aiguë).
La coryza (ou « vomissements ») est un pathologie grave qui touche davantage les hommes que les femmes. Elle concerne environ 80% des hommes et se traduit par un manque de conscience. Ce phénomène apparaît lorsque l’on consomme trop d’aliments à cause d’une déshydratation, d’une alimentation ou d’une alimentation trop grasse. Ce phénomène se manifeste par des changements dans l’organisme, notamment des symptômes de sevrage (« coryza »), une difficulté à uriner et à dormir, des problèmes de digestion et une altération de l’humeur, voire de l’énergie. L’augmentation du taux d’hypertension artérielle et du niveau de cholestérol sont également des facteurs de risque de coryza.
La coryza se manifeste à différents endroits, mais il existe aussi des complications. La coryza peut se développer sous la forme d’une éruption cutanée sur un pied, une piqûre d’insecte ou de la fièvre. Elle touche environ 20 % des hommes d’âge moyen et est plus fréquente chez les femmes que chez les hommes. Elle est causée par des facteurs physiques comme l’excès de nourriture, le stress ou le manque d’hygiène. Chez l’homme, elle est généralement associée à une consommation trop élevée d’aliments et peut également provoquer des problèmes de santé mentale.
Parmi les effets secondaires de la coryza, on compte l’alcoolisme, l’insomnie, l’insomnie et la fatigue. Les symptômes incluent les nausées, des vomissements et des douleurs abdominales. Leur fréquence varie d’un individu à l’autre, il existe également un syndrome de sevrage dans la vie, un syndrome de cauchemars, des maladies cardiaques ou une maladie hépatique (insuffisance cardiaque).
Le coryza peut toucher environ 80% des hommes et survient chez les femmes, selon l’OMS (Organisation mondiale de la santé) qui évalue le nombre de personnes âgées. Le risque d’évolution de la coryza est d’environ 1 à 2 % de la population, et ce peut prendre jusqu’à 15 % de la population pendant la grossesse. Environ 50% des personnes de plus de 80 ans atteintes de cette maladie sont des personnes âgées de moins de 40 ans. Les causes de cette maladie sont multiples. Les principales affections les plus fréquentes sont le syndrome des ovaires polykystiques, les infections bactériennes, les troubles de la thyroïde, l’hypertension et l’hypercholestérolémie. Certains sont associés à la présence d’un stress élevé ou d’une maladie auto-immune (maladie auto-immune héréditaire).
Classe pharmacothérapeutique : antibactériens, code ATC : L02BD02.
Mécanisme d'action
Le cotrimoxazole est un antibiotique de la famille des bêta-lactamines.
Le cotrimoxazole a été spécialement conçu pour traiter les infections causées par des bactéries résistantes à la méfloquine et peut être utilisé dans le traitement des infections pulmonaires et des infections cutanées, tels que les péritonites, les infections urogénitales et les infections pulmonaires obstructives. Le cotrimoxazole peut être indiqué en présence d'une hypersensibilité au médicament.
Dans une étude clinique, l'administration intraveineuse de cotrimoxazole à des patients souffrant de résistance à la méfloquine était associée à une amélioration de leur épilepsie et au développement de la guanylate cyclase, une enzyme présente dans le foie des bactéries résistantes. Dans une étude rétrospective de 6 mois, l'administration intraveineuse de cotrimoxazole à des patients souffrant de résistance à la méfloquine était associée à une augmentation de l'exposition systémique à l'amoxicilline (voir rubriques “Indications thérapeutiques, en particulier à forte posologie” et “Effets indésirables”).
L'expérience clinique montre que le cotrimoxazole peut être associé à un risque accru d'épilepsie chez les patients présentant des facteurs de risque préexistants (voir rubrique “Effets indésirables”). Il a été montré que le cotrimoxazole augmente la quantité de médicaments essentiels dans une série de tests de laboratoire. Cependant, l'expérience clinique n'a pas encore été publiée.
En cas de doute, il faut le savoir : un antibiotique est un médicament qui empêche la destruction du germe. C’est ce qu’on appelle l’antibiotique la flore bactérienne bactérienne, en particulier l’antibiotique la pénicilline, qui contient des substances très efficaces contre les infections. Cependant, il est important de se rappeler qu’en cas de doute, le problème est souvent difficile à soigner.
Lorsque les antibiotiques sont prescrits aux personnes qui ont des problèmes avec leur système immunitaire, il est important de se rappeler que le problème dure généralement 2 à 3 semaines et qu’il est important de suivre la prescription pour éviter le risque d’infection et de réduire ou de développer des infections bactériennes, selon une analyse de plusieurs études.
Il est important de comprendre que le problème de l’antibiotique, c’est-à-dire une molécule qui ne produit pas suffisamment d’eau et qui ne protège pas de la flore bactérienne bactérienne, n’est pas à proscrire et peut être une contrefaçon, avec des risques graves et un risque accru d’infection. L’augmentation de la quantité d’antibiotique qui va être prescrit a été observée avec un antibiotique parmi les personnes souffrant d’infections bactériennes.
En ce qui concerne la flore bactérienne bactérienne, le mécanisme est simple. En bloquant cette enzyme qui pénètre dans les cellules bactériennes, le bacille de Gram négatif permet de se développer et se développer aussi bactérienne que les autres. C’est ainsi que le microbiote intestinal peut être sensible à cette molécule. En ce qui concerne les antibiotiques, c’est-à-dire les antibiotiques qui n’ont pas de problème, on peut se le dire pour une flore bactérienne à l’extérieur, mais aussi pour des problèmes de microbiote ou des micro-organismes qui n’ont pas de problème.
Il est important de souligner que la flore bactérienne n’est pas la cause de la résistance des organismes bactériennes. Il est donc important de noter que la résistance aux antibiotiques est le principal facteur majeur de résistance aux antibiotiques.
Il est très important de se rappeler que les antibiotiques ne doivent être utilisés qu’avec un microbiote ou à un endocrinien, mais aussi en période d’immunité.
L’augmentation de la quantité d’antibiotique qui va être prescrit avec un microbiote est une bonne idée, mais un peu comme pour des problèmes de santé.
La prise en charge des patients qui ont eu une mauvaise vie est différente de la vraie mauvaise. Le plus souvent, une épreuve pourra évoluer vers une guérison complète. Le plus souvent, ils n'ont pas le même souci qu'ils souffrent d'éléments de fièvre, d'intensité et d'infection. Le traitement est en fonction de la gravité de l'infection et de l'importance du germe qui a été traité. L'élément principal est l'inhalation de médicaments par les laboratoires qui ont développé un antibiotique et qui est utilisé dans la prise en charge des patients. L'évaluation des événements indésirables avec le traitement de la mauvaise néonatologie est très importante et, de ce fait, avec des médicaments, il est essentiel de vérifier les éventuelles interactions et de connaître le traitement et l'interaction. La gravité et la sévérité de la mauvaise néonatologie et de l'élément principal sont deux facteurs de risque. Le plus souvent, ces dernières années, ils sont plus fréquents et plus nombreux dans la population générale. Une mauvaise néonatologie est très importante car elle peut entraîner des effets indésirables sur le foie et des reins. Des interactions médicamenteuses existent. Les études cliniques de la population générale ont été réalisées pour évaluer les interactions médicamenteuses avec des médicaments. Les patients doivent faire une prise en charge des infections sous antibiotiques et doivent faire preuve de prudence.
Le plus souvent, ces derniers sont nécessaires pour un bon traitement de l'infection. Le traitement de l'infection est définie par des mesures médicales, telles que les mesures de la vigilance, les médicaments, les contrôles de la sécurité sociale et le traitement du nourrisson. Le traitement des infections à germes sensibles est souvent prescrit aux enfants. Ainsi, l'usage des antibiotiques est recommandé chez les enfants de moins de 18 ans.
Les antibiotiques sont parfois prescrits en première intention pour traiter les infections à germes sensibles. Ils ont une action sur les antibiotiques qui se trouvent dans les médicaments, qui sont utilisés pour traiter la mauvaise néonatologie. Cependant, le traitement d'une infection à germes sensibles avec des antibiotiques et des médicaments est souvent un traitement par antibiotiques. Dans ce cas, la mauvaise néonatologie peut être traitée. Des antibiotiques sont prescrits en première intention pour traiter la maladie de Crohn, la rectocolite hémorragique, la douleur rectale et la maladie de Crohn. Cela est particulièrement important pour les patients atteints de colite ulcéreuse et de rectocolite hémorragique. Les antibiotiques peuvent être prescrits pour traiter l'infection à germes sensibles.
Les antibiotiques ne sont pas disponibles en ligne.
ANSM - Mis à jour le : 25/06/2022
Dénomination du médicament
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE ZYDUS 500 mg/5 ml, suspension buvable en flacon
Augmentin (Augmentin ZYDUS 500 mg/5 ml, suspension buvable en flacon)
Encadré
Veuillez lire attentivement cette notice avant d'utiliser ce médicament car elle contient des informations importantes pour vous.
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Si vous avez d'autres questions, interrogez votre médecin, votre pharmacien ou votre infirmier/ère.
Ce médicament vous a été personnellement prescrit. Ne le donnez pas à d'autres personnes. Il pourrait leur être nocif, même si les signes de leur maladie sont identiques aux vôtres.
Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin, votre pharmacien ou votre infirmier/ère. Ceci s'applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Voir rubrique 4.
Que contient cette notice?
1. Qu'est-ce que AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE ZYDUS 500 mg/5 ml, suspension buvable en flacon et dans quels cas est-il utilisé?
2. Quelles sont les informations à connaître avant d'utiliser AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE ZYDUS 500 mg/5 ml, suspension buvable en flacon?
3. Comment utiliser AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE ZYDUS 500 mg/5 ml, suspension buvable en flacon?
4. Quels sont les effets indésirables éventuels?
5. Comment conserver AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE ZYDUS 500 mg/5 ml, suspension buvable en flacon?
6. Contenu de l'emballage et autres informations
Classe pharmacothérapeutique : antibiotiques de la famille des bêta-lactamines - code ATC : J01CA04
AMOXICILLINE/ACIDE CLAVULANIQUE ZYDUS contient une substance qui appartient à un groupe de médicaments appelés « effets indésirables (...)
Les médicaments qui contiennent des antibiotiques de la famille des bêta-lactamines sont des antibactériens appelés « pénicillines ». Ils sont utilisés dans le traitement des infections bactériennes à germes sensibles.
L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) publie une fiche technique sur le risque d’infection par le virus de l’hépatite C (VHC) chez les patients naïfs de traitement anti-VHC ou présentant des facteurs de risque (transfusions sanguines, co-infection VIH). Les médicaments concernés sont la spécialité ISENTRESS 100 mg (réservée aux patients naïfs de traitement anti-VHC), la spécialité TAREG 100 mg et la spécialité INDAPAMINE LP 10 mg (réservée aux patients présentant un risque d’infection lié à la co-infection VIH-VHC) (1). Des informations relatives à l’augmentation du risque d’infection par le VHC sont également disponibles dans la fiche technique du vaccin contre le virus de l’hépatite B (VHB).
L’Agence rappelle que ce risque peut être augmenté chez certains patients, tels que les patients naïfs de traitement anti-VHC, les patients ayant une hépatite chronique et les patients porteurs d’une hépatite chronique C et de transplantations hépatiques récentes.
L’ANSM rappelle également que les données issues des études de phase III menées dans la cohorte ECOG-2 sur l’utilisation de la spécialité ISENTRESS (réservée aux patients naïfs de traitement anti-VHC) dans les infections à VHC chez les patients ayant une maladie hépatique avancée indiquent que ce médicament n’a pas d’effet délétère sur la progression de la maladie (2).
Dans un avis du 29 juin 2013, l’ANSM soulignait que les données issues des études de phase III menées dans la cohorte ECOG-2 sur l’utilisation de la spécialité ISENTRESS (réservée aux patients naïfs de traitement anti-VHC) dans les infections à VHC chez les patients ayant une maladie hépatique avancée indiquent que ce médicament n’a pas d’effet délétère sur la progression de la maladie (2).
Dans cette même recommandation, l’ANSM attire l’attention des professionnels de santé sur les risques de transmission du VHC par perfusion de sérums de rats et de singes après administration de ce produit. Ces études sont insuffisantes pour établir une relation de causalité entre la vaccination contre le VHC et la transmission du VHC, et l’ANSM recommande de ne pas utiliser de sérums de rats et de singes pour la réalisation de ce type d’essais cliniques.
De plus, la survenue de cas d’infection par le VHC chez des patients naïfs de traitement anti-VHC a été signalée dans des essais cliniques en cours de développement ou déjà en cours de commercialisation (2, 4). Les études d’efficacité et de tolérance dans le traitement de l’hépatite C sont en cours et la sécurité de ce médicament ne peut être établie à ce stade. Dans ce contexte particulier, il est recommandé de privilégier une administration en intraveineux direct (IVD).
Les patients naïfs de traitement anti-VHC ou porteurs d’une hépatite chronique non traitée sont donc invités à respecter les précautions décrites dans la Fiche technique sur le risque d’infection par le VHC chez les patients naïfs de traitement anti-VHC et dans la fiche technique sur le risque d’infection par le VHC chez les patients présentant des facteurs de risque (transfusions sanguines, co-infection VIH-VHC) (1).
Dans un avis du 30 juin 2013, l’ANSM rappelle que les données issues des études de phase III menées dans la cohorte ECOG-2 sur l’utilisation de la spécialité TAREG 100 mg dans les infections à VHC chez les patients présentant une hépatite chronique non traitée indiquent que ce médicament n’a pas d’effet délétère sur la progression de la maladie (2).
Dans une autre recommandation du 29 juin 2013, l’ANSM indique que les données issues des études de phase III menées dans la cohorte ECOG-2 sur l’utilisation de la spécialité TAREG 100 mg dans les infections à VHC chez les patients présentant une hépatite chronique non traitée indiquent que ce médicament n’a pas d’effet délétère sur la progression de la maladie.
Il convient donc de privilégier la réalisation d’une biopsie hépatique dans les cas de transplantation hépatique ou de maladie hépatique chronique pour évaluer la réponse au traitement.
Enfin, il est rappelé que la surveillance des patients recevant TAREG 100 mg dans le cadre de l’hépatite chronique non traitée doit être renforcée en particulier chez les patients présentant une co-infection VIH-VHC. L’ANSM invite les professionnels de santé à poursuivre leur information et leur éducation à l’hygiène de vie et à demander un avis spécialisé si une hépatite chronique non traitée est suspectée.
Dans une autre recommandation du 29 juin 2013, l’ANSM attire l’attention des professionnels de santé sur la nécessité de réaliser une biopsie hépatique chez les patients présentant une hépatite chronique et une co-infection VIH-VHC. Il est rappelé que ce traitement comporte un risque de transmission du VHC, et qu’une prise de sang est systématiquement demandée dans le cadre de cette surveillance.
L’ANSM rappelle également que les patients présentant une hépatite chronique non traitée ont un risque accru d’infection par le VHC. Les études de phase III menées dans la cohorte ECOG-2 sur l’utilisation de la spécialité TAREG 100 mg dans les infections à VHC chez les patients présentant une hépatite chronique non traitée indiquent que ce médicament n’a pas d’effet délétère sur la progression de la maladie (2).
Dans la même recommandation du 29 juin 2013, l’ANSM attire l’attention des professionnels de santé sur la nécessité de réaliser une biopsie hépatique chez les patients présentant une hépatite chronique non traitée. En effet, la co-infection VIH-VHC et l’hépatite chronique non traitée peuvent concourir à une augmentation du risque d’infection par le VHC, et en particulier de transmission du VHC, en particulier chez les patients présentant une hépatite chronique non traitée.
Il est donc recommandé de réaliser une biopsie hépatique dans les cas de transplantation hépatique ou de maladie hépatique chronique dans le cadre du suivi de ces patients à risque d’infection par le VHC. L’ANSM rappelle qu’il est important de poursuivre la surveillance des patients recevant TAREG 100 mg dans le cadre de l’hépatite chronique non traitée (2, 4).
Dans une autre recommandation du 29 juin 2013, l’ANSM attire l’attention des professionnels de santé sur la nécessité de réaliser une biopsie hépatique chez les patients porteurs d’une hépatite chronique non traitée.
Il est recommandé de réaliser une biopsie hépatique chez les patients porteurs d’une hépatite chronique non traitée et de réaliser des prélèvements biliaires et/ou pancréatiques si ces prélèvements s’avèrent positifs.
Enfin, les patients porteurs d’une hépatite chronique non traitée ont un risque accru d’infection par le VHC. Il est donc recommandé de réaliser une biopsie hépatique chez les patients porteurs d’une hépatite chronique non traitée.
Dans une autre recommandation du 29 juin 2013, l’ANSM attire l’attention des professionnels de santé sur la nécessité de réaliser une biopsie hépatique chez les patients atteints d’une maladie hépatique chronique non traitée.
Il est recommandé de réaliser une biopsie hépatique chez les patients atteints d’une maladie hépatique chronique non traitée et de réaliser des prélèvements biliaires et/ou pancréatiques si ces prélèvements s’avèrent positifs.
Enfin, les patients atteints d’une maladie hépatique chronique non traitée ont un risque accru d’infection par le VHC. Il est donc recommandé de réaliser une biopsie hépatique chez les patients atteints d’une maladie hépatique chronique non traitée.
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